Nous sommes une équipe de professionnels et bénévoles, convaincus de la portée bienfaisante et thérapeutique de la psychophanie.
Issus des 4 coins de la France, de Suisse et de Belgique, nous avons à cœur de partager la richesse des textes écrits en psychophanie.
Nous souhaitons diffuser plus largement la mĂ©thode et offrir au plus grand nombre la chance de se dĂ©couvrir et de mieux communiquer.Â
Nous proposons à ceux qui le souhaitent une formation de qualité.
J’ai eu une lecture de mon inconscient qui rĂ©sonnait complètement en moi. J’ai pu mettre du sens sur certains de mes blocages, sur des incomprĂ©hensions et cela m’a beaucoup aidĂ© Ă accepter certaines situations mais aussi certains ressentis. Cette sĂ©ance a mis en lumière des ressentis enfouis. ça a Ă©tĂ© comme une « traduction » de ce qui Ă©tait Ă l’intĂ©rieur de moi. C’est une approche que je conseille depuis Ă des personnes que j’accompagne lorsque nous bloquons sur certains sujets. A chaque fois, nous avons pu, après leur sĂ©ance, travailler sur la lecture en psychophanie qui avait Ă©tĂ© faite et utiliser les Ă©lĂ©ments qui Ă©taient Ă©voquĂ©s. Je considère cette approche comme un outil permettant de mettre en lumière certains Ă©lĂ©ments qui ne sont pas facilement accessibles. C’est une vraie dĂ©marche de comprĂ©hension de soi.
J’ai accès également, avec certains facilitateurs, à l’inconscient de mes ancêtres décédés, et c’est précieux : je peux ainsi dénouer des blocages dans mon arbre généalogique et récolter des informations que je n’aurais pu obtenir autrement (fausses couches, décès d’enfants). D’un point de vue personnel, une séance m’aide à voir où j’en suis dans ma vie, quelles sont mes préoccupations du moment, où j’en suis dans mon histoire et mon chemin de vie. Si on est prêt à entendre les réponses, on peut aussi poser des questions assez précises : parfois les réponses sont ironiques ou semblent « à côté » mais il y a souvent de savoureux jeux de mots ou des fautes d’orthographe qui ressemblent à des lapsus écrits (le vocabulaire est celui du facilitateur!). En tout cas, je ne pourrais pas me passer de cette méthode, que je trouve vraiment extraordinaire et très accessible en France. Ça serait dommage de s’en priver.
Je suis sĂ»re que l’action conjuguer des uns et des autres peut aboutir Ă de belles choses, alors je veux me battre pour faire avancer les choses, reconnaissons la communication facilitĂ©, faisons la admettre, c’est mon cheval de bataille. Je veux Ă©galement me battre pour que le plus grand nombre y accède. (…)
Je veux dire aussi que je fais de la CF depuis quelques annĂ©es avec plusieurs personnes et que ça a changĂ© ma vie, je suis radieuse de vie maintenant, des portes se sont ouvertes, la fin de mes cauchemars est arrivĂ©e Ă ce moment-lĂ , tourner en boucle des choses dans sa tĂŞte sans jamais en sortir Ă©tait insoutenable, aujourd’hui je suis heureuse, Ă©coutĂ©e, comprise, je participe Ă la vie, merci pour cela. Oui je veux bien, je suis dĂ©sireuse de combattre l’inĂ©galitĂ© des gens dans leur comportement ; certains sont ignobles, d’autres Ă©pouvantables ; certains autres sont au contraire bienveillants, gentils, pourquoi tant de haine chez certains, la vie me fait peur parfois, le monde serait tellement plus beau si tout Ă©tait plus simple, je suis admirative de ceux qui se battent pour rĂ©unir les gens, les faire s’entendre, c’est beau, je voudrais participer Ă cela aider Ă ma façon, mais aider quand mĂŞme, voilĂ je croix que j’ai tout dit.
La psychophanie est une merveilleuse occasion de rencontre avec soi, cette personne si familière et pourtant si méconnue.
C’est une rencontre avec son ĂŞtre intime pleine de potentiels et d’espĂ©rance. Une sorte de rĂ©vĂ©lation Ă soi-mĂŞme grâce Ă une mise en mots de l’indicible. On apprend Ă se connaĂ®tre, Ă s’écouter et Ă communiquer avec soi-mĂŞme pour pouvoir mieux s’engager dans la vie, de façon plus lĂ©gère, unifiĂ©e et consciente.Â
J’ai fait la connaissance de NT chez lui. Atteint de la maladie d’Alzheimer, il garde une belle prestance.
Dès la 1ère séance il me prête facilement sa main. J’ai eu le plaisir de le voir plus ou moins régulièrement pendant 4 ans. Lors des 7 premières séances, grâce à la CF, il explore un passé douloureux…
Nous avons vécu des moments émouvants, mais combien beaux et profonds. NT est arrivé à porter un autre regard sur son enfance, à être serein en y pensant.
Merci NT de ces moments que nous avons connus ensemble, de la complicité qui existait entre nous. Merci de la confiance que votre famille m’a accordée.
Alors que de son côté ma pensée, elle, s’incarne, se matérialise, se fait entendre : conversation, débat, dialogue, avis futé ou parle en l’air ont le feu vert. Dans ce double mouvement de libération volatile et de concrétisation potière, bien dans l’argile de la parole qui prend forme, la communication peut advenir: je suis entendu et j’écoute à mon tour. Dans cet échange je trouve en étrenne ma dimension d’homme intègre, un moment d’égalité profondément ressentie qui élève et qui répare. Je viens à votre rencontre et vous m’accueillez : je quitte mon exil.
« J’ai utilisĂ© plusieurs fois la CF, par le biais d’une facilitante, dans des suivis en kinĂ©siologie.
D’abord pour un enfant de 14 mois Ă©tiquetĂ© « retard psychomoteur » et lĂ©ger retard mental ; j’ai fait 3 sĂ©ances avec l’enfant et la maman : la motricitĂ© a rapidement progressĂ©, la comprĂ©hension de la maman aussi ; puis j’ai continuĂ© avec la maman, ce qui avait des retours très positifs pour l’enfant. (…) Le petit est beaucoup plus calme, et mĂŞme la maĂ®tresse dĂ©sespĂ©rĂ©e l’a remarquĂ©. La CF, bien comprise, avec les messages travaillĂ©s et mis en Ĺ“uvre dans la vie, permet  de grands bonds, bĂ©nĂ©fiques Ă celui qui vit la CF ainsi qu’Ă son entourage.
J’ai aussi indiquĂ© la CF comme moyen de communiquer pour un jeune homme accidentĂ©, tĂ©traplĂ©gique. Après 3 ans de silence, ça a vraiment Ă©tĂ© bĂ©nĂ©fique pour lui et son entourage.
Je pense que c’est une très bonne technique, qui, pour moi, s’apparente par certains cĂ´tĂ©s au RĂŞve EveillĂ©.
Cela permet d’exprimer des thèmes :
– conscients mais sans possibilitĂ© d’exprimer,
– prĂ©conscients
– et mĂŞme inconscients
et le message, travaillé, donne des éclairages profonds. »